PHOTOGRAPHIER LA VIE SAUVAGE

On pourrait dire photographier la vie tout cours, elle est qualifiée de sauvage car elle est libre pas à cause de son mauvais caractère. Je dis simplement cela pour amener mon sujet sur la nature qui nous entoure, le merle de votre jardin, la pie du jardin du voisin, le moineaux de la terrasse de café sont aussi sauvages que la panthère des neiges, non ?

Même si ce qui nous intéresse ici c’est la proximité, le fait de découvrir la vie sauvage qui bouillonne sous notre nez. Insoupçonnée de notre voisin et de ceux comme la majorité d’entre nous ne font plus attention à la nature qui les entoure.
Nous avons à deux pas la possibilité de rétablir la connexion avec la nature, lorsque j’ai une mauvaise réception avec mon téléphone, je sors de la maison et je cherche un point dégagé la main en l’air en disant ALLO ALLO ?
C’est la même chose avec la nature pour rétablir la connexion il faut sortir !!!!
Ca peut paraitre bateau, mais s’assoir dans la nature, observer et essayer de rétablir les liens rompu depuis bien longtemps, redonne du sens à la vie, le goût de la simplicité et bien d’autre vertu encore qu’il me reste à découvrir.
Certains parlent de pleine conscience, il y a de ça, cela pourrait même être un sujet complet d’article prochain.

Il faut tout de même reconnaitre que photographier un animal sauvage (même local)
relève parfois de la véritable expédition, une mission !!!
Un peu moins si vous faites de la macro.

Avant de déménager toutes la quincaillerie il ne faut pas négliger la partie observation et partir léger équipé d’une paire de jumelles, d’un carnet de note, gps ?
Une fois que nous avons « logé » un sujet ? ? et que nous avons choisi le lieu de l’affût (en pensant aussi à l’angle de vue photo, attention aux branches aux herbes dans le cadre etc) nous pouvons penser à l’expédition locale.

– Matériel photo (adapté au sujet ?)
– Trépied
– Jumelles
– Gps
– Gourde
– Affût (Filets etc etc)

L’équipement est au complet, il n’y à plus qu’à programmer le départ.

En fonction des heures d’observation, pour ne pas déranger les animaux il faut prévoir large pour le trajet, l’approche, l’installation de l’affût, n’oubliez pas que vous êtes chargé comme un sherpa !
Idéalement si l’affût est naturel il peut rester sur place, si il ne l’est pas, c’est pas mal aussi de pouvoir le mettre en place quelques jours avant ou la veille afin d’être le plus discret possible le jour du shooting.

A suivre.



#wildlifepicardie

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